Revue de presse et rétrospective 2013 - 2014
Le Chœur Lyrique d’Alsace
L’ALSACE
Haut-Koenigsbourg - Spectacle Musical
Orschwiller Un château très lyrique
le 30/06/2014 à 05:00 Christian Dantz
Au prix d’un incroyable travail, le Haut-Koenigsbourg a été transformé en véritable scène d’opéra vendredi et samedi, pour permettre au Chœur lyrique d’Alsace de retracer l’histoire du château.
Dans la cour d’entrée, le public est accueilli par une veilleuse-conteuse qui guidera les mélomanes à travers les dédales du château tout en faisant les commentaires historiques. Un peu plus loin, Guillaume II en personne invite les convives à fêter la restauration de « son » château, sur fond de musique wagnérienne. Dès le départ, la magie agit sur les quelque 200 chanceux qui ont pu obtenir le sésame d’entrée. L’ambiance crépusculaire ajoutait à la dramaturgie créée par les choristes.
Dans le grand bastion, première halte : le chœur lyrique est bien présent, en costume du XIXe siècle mais comme figé par le temps, donnant l’impression de statues de cire. Puis le réveil a lieu avec deux pièces allemandes de Wagner et de Bruckner.
La cohorte se dirige ensuite vers le haut jardin pour la suite du spectacle et une plongée dans le temps des origines du château jusqu’à la reconstruction et l’inauguration par Guillaume II.
Tout y passe : la première construction par Frédéric le borgne et la période médiévale avec son cortège de sorcières puis de chevaliers brigands. Côté musical, pas de musique médiévale ou Renaissance : le chœur ne s’appelle pas lyrique pour rien. Les extraits de grands opéras des célèbres Bellini, Puccini, Verdi, Bellini ou Donizetti sont adaptés aux situations. La puissance des choristes a fait vibrer les murailles du château. À noter la performance du jeune pianiste Mishka Roth qui accompagnait les pièces et assurait les intermèdes mais aussi l’excellence des solistes avec bien sûr le chef Eric Vivion, ténor connu au-delà des frontières hexagonales.
Après avoir exploré la longue histoire de la forteresse, un banquet médiéval attendait le public. Il a été concocté par la Maison de la Nature du Ried et son charismatique chef Jean-François Dusard, alias Jef. Un dernier air d’opéra prolongeait cette soirée magique, fruit d’un long travail de préparation et qui pourrait être reconduit l’an prochain.
le 30/06/2014 à 05:00 Christian Dantz
« Hœnheim Agréable voyage en Espagne
Le service culturel de la Ville de Hœnheim a fait un joli cadeau à ses mélomanes en leur offrant un beau spectacle du Chœur lyrique d’Alsace dimanche soir à la salle des fêtes municipale.
La Ville de Hœnheim et son adjointe à la culture ont été fiers d’inviter le public des soirées culturelles à l’opéra en lui demandant une contribution symbolique. Les nombreux spectateurs ont été agréablement surpris par le spectacle lyrique et chorégraphique “El Camino de la vida”.
Avec la contribution au piano de l’organiste et musicologue Cyril Pallaud, la troupe du Chœur lyrique d’Alsace du ténor lyrique Eric Vivion a proposé un beau voyage en Espagne sur des airs de célèbres opéras, Nabucco ou La Traviata de Guiseppe Verdi ou Carmen de Georges Bizet. En cinq étapes, les voyageurs ont pu s’arrêter au temple de l’époque antique, admirer les beaux costumes de la Renaissance jusqu’à la fin du XIXe siècle et se plonger dans l’Espagne intemporelle et poétique de ce siècle où la joie de vivre se manifeste à travers la danse.
Tout au long du spectacle, le metteur en scène Eric Vivion a voulu imprimer les pensées optimistes de l’amour, énergie puissante, et de l’humour qui transforme les larmes en rires. Il a atteint son objectif avec ses bonnes “voix” à tous les pupitres : le public a été conquis ! »
Spectacle Lyrique El Camino de la Vida, Hœnheim, 22 février 2014 « Dernières Nouvelles d'Alsace »
« Merci à Eric Vivion et tout le Chœur Lyrique d’avoir fait de nos 30 ans un bel instant magique, musical et artistique faisant se rencontrer tellement d’émotions ! »
30e anniversaire de la Maison Jean-Louis Roelly, Joaillier-Créateur à Sélestat. Jean-Louis et Colette Roelly.
« Viaggio,
Ce voyage, ou plutôt cet “exil poétique” selon le programme, a entraîné le public dans un voyage intérieur où poésie, orgue et chœurs se mariaient à la perfection dans un spectacle époustouflant.
Pas de temps mort : les pièces s’enchaînent grâce à Eric Vivion, véritable “homme-orchestre” qui dirige les choristes, assure la synchronisation avec l’orgue et en plus chante de sa voix de ténor puissante…..
Mais l’alternance de pièces sacrées, comme le très beau “Laudate Dominum” de Mozart et d’airs d’opéra rendait le spectacle très vivant... Les choristes ont rivalisé de virtuosité, que ce soit en formation chorale ou en soliste... Le public, conquis, a fait une ovation au chœur lyrique et à son charismatique chef, sans oublier le nouvel organiste de l’ensemble, Cyril Pallaud dont la virtuosité a également contribué à la qualité du spectacle. »
Concert lyrique et Sacré, Kintzheim, 24 septembre 2013 «Dernières Nouvelles d'Alsace »
Festival d'orgue Les Mardis à la Collégiale
" Un voyage musical plein d'émotion"
" Les Mardis à la Collégiale ont magnifiquement ouvert la saison musicale de l'automne à Colmar sur le thème, cette année, de l'« Itin-Errance »
Eric Vivion a comblé de bonheur un public venu nombreux ce mardi 26 août...
Quant à la voix d'Eric Vivion, à la fois chef de choeur et ténor lyrique, elle a subjugué le public...
Cette « première » de la 38e saison des Mardis de la Collégiale fut un régal pour l'ouïe, pour les yeux, pour le coeur et pour l'âme dont l'élévation a été portée jusqu'aux voûtes de la Collégiale."
Festival International d'Orgue de la Collégiale de Colmar 28/8/14 Gérard Cronenberger " Dernières Nouvelles d'Alsace"
Le festival d’orgue de Colmar s’est ouvert avec une remarquable et originale prestation
" Éric Vivion, dialoguant en soliste avec son chœur, a fait la preuve de la grande pureté de son timbre et de son sens dramatique dans des airs de Verdi et Puccini emplis d’ émotion, et rehaussés par le chatoiement des costumes d’époque , créés par les chanteurs eux-mêmes."
Festival International d'Orgue de la Collégiale de Colmar 28/8/14 Jacques Weil " L'Alsace"
Barr Jeudis musicaux Une première éclatante
"Les œuvres pour ténor lyrique en solo de Donizetti et de Verdi ont été admirablement interprétées par Eric Vivion, le fondateur et l’animateur passionné du Chœur lyrique.
L'auditoire enthousiaste et subjugué, a rappelé par deux fois les musiciens pour des bis et a pu se réjouir en écoutant une pièce de Puccini .Ce premier concert des Jeudis musicaux était une vraie fête".
Festival "Les Jeudis Musicaux de Barr" Concert Lyrique et Sacré 15/7/14 "Dernières Nouvelles d'Alsace"
Barr Les Jeudis musicaux
"Eric Vivion, ténor soliste, a comme à l’accoutumée fourni une prestation de très haute volée.
Le final avec des extraits de Ernani de Verdi et Il Pirata de Bellini a été somptueux, suivis de rappels longuement applaudis par le public".
Festival "Les Jeudis Musicaux de Barr" Concert Lyrique et Sacré 16/7/14 " L'Alsace"
Festival d'Art Sacré de l'Ariège et du Couserans
"Pour le ténor Eric Vivion, sa prestation est un véritable enchantement. Chacun a pu apprécier la plénitude et la maîtrise de son art , une voix et une présence étonnantes au service d'un répertoire formidablement éclectique." La Dépêche du Midi (Juin 2014)
Molsheim Un moment musical exceptionnel
"À la sortie du concert de la Passion, organisé par les amis de l’orgue Silbermann, à l’église des Jésuites, les superlatifs allaient bon train pour commenter et qualifier ce moment tout à fait exceptionnel que venait de vivre le public.
Voix superbe dont les notes coulent comme de source et développent leurs lignes avec liberté sans jamais paraître tendues ou forcées pour Eric Vivion, ténor lyrique. Il truste les prix lors des concours internationaux. À chaque interprétation, le public est subjugué.
Les applaudissements sans fin conduisent au bis, un extrait de Turandot de Puccini. Le public est décidément conquis."
Concert Lyrique et Sacré des Rameaux "Sur les Pas de Celui qui Vient" 16/4/14 " Dernières Nouvelles d'Alsace"
Landshut « Il Pirata » 12.Januar 2014
« Als nahezu unsingbar gilt seit jeher die nicht minder komplizierte Tenorpartie. Der Komponist hatte sie seinem Starsänger Giovanni Battista Rubini in die Kehle geschrieben, dessen Stimme mühelos mehrere Oktaven umfasste und zu legendären Intervallsprüngen befähigt war. Vor diesem Hintergrund bewältigte Eric Vivion-Grandi (Gualtiero) seine Aufgabe mit bewundernswertem Durchhaltevermögen, klar fokussierter Extremhöhe und mehr als respektabler Gesangskultur… Wenn ein Opernensemble, das zu den leinsten der Republik zählt, ein derart anspruchvolles Werk mit so viel künstlerischer Überzeugungskraft und aufwühlender Intensität zu stemmen vermag, verdient dies höchste Anerkennung. »
J-M Wiencke, Das Opernglas, März 2014
"Dass Eric Vivion-Grandi (Gualtiero) die als beinahe unsingbar bekannte Partie, die Bellini für den berühmten Drei-Oktaven-Tenor Giovanni Battista Rubini geschrieben hatte,überhaupt übernommen hat,ist ihm sehr zu danken. Er bewältigte sie mit Stilgefühl,Höhensicherheit und Durchhaltevermögen."
Helga Schmöger IBS Journal-Die Münchner Opernfreunde 2/2014
Glanzvoller Belcanto der Passauer "Piraten"
"...Einen überwältigenden Erfolg verzeichnete die Premiere von Vincenzo Bellinis Oper "Die Piraten" (1827) am Samstag in Passau. Das Landestheater Niederbayern hatte zur Realisierung dieses romantischen Liebesdramas Gastsänger aus bedeutenden Opernhäusern eingeladen, die mit Spitzenleistungen des Belcanto das Publikum begeisterten"..."Für den französisch-italienischen Tenor Eric Vivion-Grandi schien es in der Rolle des Piraten Gualtiero keine Stimmgrenzen nach oben zu geben."
Rudolf Leßky, Neues Volksblatt, 02.12.2013
Eric Vivion, Directeur Artistique et Musical du Choeur Lyrique d'Alsace
Festival d'orgue Les Mardis à la Collégiale
" Un voyage musical plein d'émotion"
" Les Mardis à la Collégiale ont magnifiquement ouvert la saison musicale de l'automne à Colmar sur le thème, cette année, de l'« Itin-Errance », c'est-à-dire d'une promenade ludique et savante à travers les musiques d'hier et d'aujourd'hui.
Le Choeur lyrique d'Alsace dirigé par Eric Vivion, et dont la réputation a largement franchi les frontières de nos régions, a comblé de bonheur un public venu nombreux malgré la grisaille de ce mardi 26 août.
Sensibilité et virtuosité
« Am Anfang war das Wort »... au début étaient la parole, le rythme, le chant... et l'« Itin-Errance ». Et quelle « Itin-Errance » ! Pour cette saison 2014 des Mardis à la Collégiale, le voyage musical a conduit le public de la musique religieuse avec le poignant Laudate Dominum de Mozart, les Sept dernières paroles du Christ de Haydn aux grands airs d'opéra de Donizetti et de Verdi dans un parcours allant de la musique classique jusqu'à la musique moderne sur un puissant air d'Anton Bruckner à forte inspiration russe. L'« Itin-Errance » a aussi mené de l'orgue de choeur Schwenkedel jusqu'au grand orgue Felsberg tenu par Estelle Gerthoffert dont la sensibilité et la virtuosité en font l'une des grandes organistes d'Alsace avec un prélude pour orgue de Félix Mendelssohn-Bartholdy interprété dans le choeur puis de la sonate n° 5 en ré majeur du même compositeur joué au grand orgue.
C'est d'ailleurs l'orgue, l'instrument le plus symphonique qui soit, qui remplaçait l'orchestre pour accompagner les airs superbement interprétés par le Choeur lyrique d'Alsace. L'« Itin-Errance » également dans le dialogue entre les choristes très mobiles dans l'église et les belles voix de solistes d'Annie Libis, de Régine Jost, de Viviane Dedenon et d'Alain-Louis dans des extraits du Nabucco de Verdi.
Quant à la voix d'Eric Vivion, à la fois chef de choeur et ténor lyrique professionnel, elle a subjugué le public qui en a oublié le temps maussade de l'extérieur. L'« Itin-Errance » enfin entre les chants d'église et les grands airs d'opéra.
Un voyage poétique varié et coloré notamment dans le final de Giuseppe Verdi où les interprètes se sont présentés en costumes seyants et multicolores de la Renaissance d'ailleurs créés avec un souci de l'exactitude historique par les choristes eux-mêmes.
Cette « première » de la 38e saison des Mardis de la Collégiale fut un régal pour l'ouïe, pour les yeux, pour le coeur et pour l'âme dont l'élévation a été portée jusqu'aux voûtes de la Collégiale avec le splendide Choeur lyrique d'Alsace favorablement servi par l'acoustique exceptionnelle de ce qui fut momentanément , après la Révolution , la « cathédrale » de Colmar."
Festival International d'Orgue de la Collégiale de Colmar 28/8/14 Gérard Cronenberger " Dernières Nouvelles d'Alsace"
Le festival d’orgue de Colmar s’est ouvert avec une remarquable et originale prestation d’Estelle Gerthoffert et du Chœur lyrique d’ Alsace.
" Éric Vivion, directeur artistique et musical du Chœur lyrique d’Alsace qu’il a créé, a conçu un programme innovant pour le concert d’ouverture des Mardis de la Collégiale, associant le chœur et l’orgue pour un répertoire en large partie puisé dans l’opéra.
Quelques pages sacrées ont mis en lumière un chœur fervent et majestueux : un Os Justi de Bruckner, chanté a capella , a fait apprécier la justesse et la clarté des choristes menés avec une rigueur minutieuse. Le solennel Es ist vollbracht de Haydn a résonné avec puissance et gravité, renforcé par l’ accompagnement d’Estelle Gerthoffert à l’orgue de chœur.
Orgues et opéras
De remarquables et belles réussites musicales, comme cet air tiré de La Force du destin de Verdi où le chœur d’hommes, rejoignant Estelle Gerthoffert à la tribune du grand orgue, a donné la réplique à la soprano.Formidable et terrifiant, l’extrait d’ Idomeneo de Mozart a fait preuve d’une puissance expressive exceptionnelle . Éric Vivion, dialoguant en soliste avec son chœur, a fait la preuve de la grande pureté de son timbre et de son sens dramatique dans des airs de Verdi et Puccini emplis d’ émotion, et rehaussés par le chatoiement des costumes d’époque , créés par les choristes eux-mêmes.
Mendelssohn rayonnant
Tout au long du concert, Estelle Gerthoffert a soutenu le chœur avec discrétion et efficacité , dans un équilibre sans cesse préservé ; prouesse rendue d’autant plus estimable par la distance qui la séparait des chanteurs . Elle a également imposé ses qualités d’ organiste dans des œuvres de Mendelssohn : un Prélude brillant et exubérant, aux riches colorations, et, au grand orgue, la 5 e Sonate sereine et méditative dans le cheminement de son Andante, impressionnante dans la grandeur fastueuse de son Allegro, où la mélodie rayonnante élève l’auditeur dans un sentiment de plénitude."
Festival International d'Orgue de la Collégiale de Colmar 28/8/14 Jacques Weil " L'Alsace"
Éric Vivion, Ténor lyrique
„Landshut „Il Pirata” 12.Januar 2014
Als nahezu unsingbar gilt seit jeher die nicht minder komplizierte Tenorpartie. Der Komponist hatte sie seinem Starsänger Giovanni Battista Rubini in die Kehle geschrieben, dessen Stimme mühelos mehrere Oktaven umfasste und zu legendären Intervallsprüngen befähigt war. Vor diesem Hintergrund bewältigte Eric Vivion-Grandi (Gualtiero) seine Aufgabe mit bewundernswertem Durchhaltevermögen, klar fokussierter Extremhöhe und mehr als respektabler Gesangskultur… Wenn ein Opernensemble, das zu den leinsten der Republik zählt, ein derart anspruchvolles Werk mit so viel künstlerischer Überzeugungskraft und aufwühlender Intensität zu stemmen vermag, verdient dies höchste Anerkennung.”
J-M Wiencke, Das Opernglas, mars 2014
„Glanzvoller Belcanto der Passauer „Piraten”
...Einen überwältigenden Erfolg verzeichnete die Premiere von Vincenzo Bellinis Oper "Die Piraten" (1827) am Samstag in Passau. Das Landestheater Niederbayern hatte zur Realisierung dieses romantischen Liebesdramas Gastsänger aus bedeutenden Opernhäusern eingeladen, die mit Spitzenleistungen des Belcanto das Publikum begeisterten"..."Für den französisch-italienischen Tenor Eric Vivion-Grandi schien es in der Rolle des Piraten Gualtiero keine Stimmgrenzen nach oben zu geben.”
Rudolf Leßky, Neues Volksblatt, 2 décembre 2013